Service pas très catholique

Nombre de messages : 640 Date d'inscription : 02/01/2010

Service pas très catholique

Fandom : Deux hommes qui n'ont pas de nom.
Genre : Érotique/Lemon pig

Rating : NC-17
Résumé : j'ai pas vraiment de résumer à vous faire, à part que j'ai honte de poster ça rouge

. J'avais pas d'idée et cette histoire est apparut d'un seul coup dans ma tête de tordu.

Je suis nerveux comme c'est pas permit. Je n'ai jamais fait cela auparavant et je n'ai aucune idée de ce qui peut bien m'attendre, enfin un peu, mais quand même. Je ne sais même pas pourquoi je fais ça, surement pour le goût du risque, de la nouveauté et surtout de l'interdit. Nom d'un chien, si mon père l'apprenait, je serais déjà en train de creuser ma propre tombe, mais tant pis.
Mon cœur accélère plus fort dans ma poitrine quand la sonnette de mon appartement retentit. Il faut absolument que je me calme, sinon pas sûr que je tienne toute la soirée et j'irais pas bien loin, cela serait dommage.
Je suis devant ma porte d'entrée, j'inspire un grand coup et je tourne la poignée près à accueillir mon, comment dire, invité ? Bon, je reprends le contrôle de mon corps et de ma tête pour ouvrir cette fichue porte.
L'homme, ou plutôt le jeune homme brun, en face de moi est habillé d'un jean bleu foncé, d'une chemise blanche assez près du corps et d'une veste noire de costume, simple mais élégant. Sans dire un seul mot, je le détaille de bas en haut et de haut en bas, j'apprécie beaucoup ce que je vois, lui aussi semble apprécier la vue que je lui offre, rien qu'à voir ses yeux qui me dévorent et son sourire sur ses magnifiques lèvres.
Je sens mon stress s'envoler pour laisser place à mon assurance.
"Je vous en pris, entrez," lui dis-je d'une voix douce et chaleureuse.
En passant à côté de moi, il me frôle et me souffle à l'oreille : "Je pense qu'on peut se tutoyer. Tu seras plus à l'aise," me sourit-il.
Je lui souris également, lui prend sa veste et l'invite à prendre place sur le canapé. Heureusement que j'avais déjà sorti de quoi boire et je dois bien avouer que pour me détendre un peu, j'ai bu un petit verre de scotch.
J'observe mon invité se lever et regarder tout autour de lui et une fois son inspection terminer, il se tourne vers moi et finit pas s'approcher. Je retiens ma respiration et ferme les yeux quand il approche ses lèvres des miennes, je sens son souffle chaud : "Tu veux m'embrasser ?"
"Avec plaisir," murmurais-je avant de goûter ses lèvres qui me tentaient tant.
Nos lèvres pressées l'une contre l'autre se dévorent, nos langues se frôlent, dansent entre elles et je sens le désir monter en moi. Le jeune homme passe une main dans mes cheveux et viens caresser ma nuque, mais il finit par s'éloigner de moi. Je le vois sourire quand il entend mon grognement de frustration, il se colle à mon corps brulant et mordille mon oreille : "Que veux tu ? Tu veux que je te suce ou tu veux me prendre maintenant ?"
C'est pas le moment de perdre l'usage de ta bouche mon vieux, surtout qu'il a ses mains sur ma ceinture et que ça commence à être à l'étroit en dessous. Je ne réfléchis plus et ni une ni deux, je l'amène dans ma chambre. Une fois à l'intérieur, mon beau brun me fait reculer, m'asseoir au pied du lit et il s'agenouille devant moi. Je le vois se mordre les lèvres, me fixer et défaire ma ceinture tout doucement, sans me lâcher du regard. Il se relève, m'embrasse et pendant que nos langues jouent, il prend mon membre en main et ensuite en bouche, je ne m'empêche même pas de crier, oh que non.
Je ferme les yeux et me laisse aller sous cette langue humide et chaude. C'est une délicieuse torture, la bouche de ce jeune homme fait des bruits presque obscènes alors que mon érection s'enfonce au plus profond de sa gorge. Je vais pas tenir longtemps à se rythme là, je lui tire les cheveux et l'attire à mes lèvres, ensuite je lui chuchote une demande à l'oreille et lui lèche le lobe. J'en ai besoin, il a l'air surpris, mais je le vois se relever et se déshabiller lentement devant moi, faisant glisser sensuellement sa chemise révélant un torse viril et imberbe. Il ne garde strictement rien, à pars des capotes et du lubrifiant qu'il a sorti de son pantalon et je souris en voyant qu'il est autant au garde à vous que moi.
Je sais ce que je veux, alors je monte sur mon lit, l'attrape par les hanches et le place entre mes cuisses grandes ouvertes. Je gémis en sentant un doigt se glisser en moi, j'avais pas ressenti ça depuis un certain moment et ce type est trop doué, trop bon. Un 2ème, puis un 3ème doigts entre en moi et viennent flatter ma prostate, je ne retiens plus ce qui sort de ma bouche et mon compagnon fait de même en bougeant ses doigts et en se frottant sans retenu contre ma jambe. Le jeune homme retire ses phalanges et les remplace par son sexe dur, d'un seul mouvement il s'enfonce au plus profond de mon corps. Il entame un va et vient rapide, s'enfonçant à chaque fois de plus en plus, à chaque poussé des décharges de plaisir me traversent et j'agrippe les draps plus fort. Au bout d'un moment, je sens l'orgasme monter, mais il me fallait une ultime stimulation pour l'atteindre.
"Touche moi," lui ordonnais-je presque.
La main du brun se faufile entre nos deux ventres et elle se referme sur mon érection et un pouce passe doucement sur mon gland, effectuant un mouvement circulaire autour du méat pour ensuite glisser doucement jusqu'à la base de ma verge et remonter tout aussi lentement. Quelques minutes plus tard, je jouis dans cette douce main et je regarde le jeune homme atteindre l'extase, les yeux fermés. Il s'effondre sur moi et je le tiens serré dans mes bras, je ne veux pas le voir partir, mais les câlins poste orgasmique, ne font pas partis du contrat. Quoique les règles, je peux les changer sans problème.
"Je dois y aller," me dit le jeune homme en essayant de s'extirper de mes bras.
"Non," lui dis-je fermement en le tenant encore plus contre moi.
J'entends un rire près de mon oreille et je sais que j'ai gagné.
"C'est pas dans le contrat chéri."
Je lui prends la tête entre mes mains : "Dis toi que tu rallonges ton service de quelques heures."
Il sourit et s'affale sur moi pour me faire comprendre que c'était bon, si je pourrais, je sauterais de joie et là je me dis, que j'ai énormément de chance d'avoir un amant aussi génial pour réaliser mes fantasmes les plus bizarres.

Fin ok, je sors