Willhem, Jeremy and co

Alors je me lance dans les prompts, et je sais pas si je fais bien
Les personnages seront les mêmes, c'est à dire :
Willhem Conway, Jeremy Boerhing, Peter Boerhing et peut être leurs amis.
Pour celles qui ne savent pas, il s'agit des persos de mon original


Adversaire :

Will entra dans le salon tranquillement et il agrandit les yeux en soucoupes en observant son amant.
Jeremy était debout devant la télé et il hurlait à pleins poumons contre le pauvre écran. Will se déplaça légèrement pour voir ce qui pouvait mettre son homme dans cet état, surement un match de football ou de rugby. Quand il eut enfin une vue sur le poste, il resta bouche bée. Ce n'était pas un match, mais plutôt du catch, pas vraiment la même chose.
Il savait que Jeremy avait des gouts bizarres, mais regarder du catch amateur, il y avait tout de même des limites à la conneries. Le basket, ça, c'était du sport, un sport d'équipe et les mecs étaient en général pas moche. Il ne voyait pas ce qui pouvait autant captivant les gens dans ce sport. S'il pouvait appeler ce machin du sport ? Il en doutait.
Voir deux adversaires se confrontaient en se tournant autour pour ensuite se taper dessus et s'éclater la tronche, Will ne voyait pas l'intérêt. Il y avait assez de violence comme ça, pas la peine d'en remettre une couche.
Will sursauta en entendant la charmante voix de son amant hurler : "Fait pas ta fillette et frappe nom de dieu !! Pauvre type, bouge tes fesses !!"
Jeremy jura quand la pub arriva. Mais bon, cela allait lui permettre d'aller se chercher à boire, car à force de crier, il avait mal à la gorge et presque plus de voix. Il se retourna et stoppa net en avisant Will, les bras croisés sur la poitrine, appuyé contre un mur et un grand sourire sur ses magnifiques lèvres.
"T'es là depuis longtemps ?" demanda Jeremy.
"Assez pour voir que question vulgarité, tu bats ton frère," répondit Will en souriant encore plus.
Il se regardèrent, Will avec le sourire et Jeremy reprit vite son souffle.
Le jeune homme secoua la tête : "Affligeant."
"Quoi ?" grogna l'ainé. "C'est un sport très bien."
"Mais j'ai rien dit."
"Mais moi je le dit !"
Will tourna les talons : "Je le répète : Affligeant !"
Le sourire de Jeremy s'agrandit encore plus quand il entendit la voix de son amant lui crier du haut des escaliers : "Viens te mesurer à moi, Hercule !"
L'ainé ne se la fit pas dire de fois et courut vers la chambre.


Affiche :

"Allez-y, continuez, je vous en prie !" siffla Peter en boitillant jusque sur la terrasse où il se laissa tomber comme une masse sur la balancelle.
Will étouffa un rire, alors que Jeremy éclata d'un rire franc et puissant.
Peter les pointa d'un doigt accusateur : "C'est votre faute en plus !"
Jeremy était allongé sur un transat, Will entre ses jambes, son dos contre le torse de son ainé.
"La faute à Will," rectifia Jeremy. Ce qui lui valut un coup de coude dans l'estomac.
"Oh, c'était un accident," se défendit le jeune homme. "Quand j'ai vu les prospectus et surtout cette superbe affiche, j'ai pas pû résister. Je me suis dit qu'une petite sortie pédestre ne nous ferait pas de mal."
Peter se renfrogna un peu plus. Une jolie randonnée pédestre qui devait se dérouler dans le calme, c'était terminée aux urgences.
"J'y suis pour rien moi si tu as deux pieds gauches," lui dit Will.
"Fait le malin Conway. Dés qu'on m'enlève ce foutu plâtre, je vais te botter les miches," le prévint Peter.
Jeremy serra ses bras plus fort autour de la taille de Will et lui murmura : "Je te protègerai."
Le jeune homme sourit et l'embrassa chastement sur les lèvres.
Peter leva les yeux au ciel : "Au secours, venez à mon aide."
"Arrête de te plaindre," souffla Jeremy.
"En même temps, si t'aurais regarder devant toi au lieu de mater les fesses de la jolie blonde, tu ne serais pas tomber," rajouta Will.
"La jolie blonde," répéta l'ainé.
"Les mots de Peter," le rassura son amant. "Moi je préfère les beaux bruns comme toi."
"Ah, c'est beurk, je veux pas voir ça," fit le Peter en tirant la langue et en fermant les yeux.
Il les réouvrit et eut un sourire attendri en voyant son frère et son ami si heureux. Une crampe dans sa jambe lui fit détourner le regard et il souffla. Comme quoi, il ne faut jamais se fier aux photos.

Tu as eu parfaitement raison de te lancer !

J'ai adoré retrouver Will et les frères Boerhing !

Deux prompts emplis d'humour et de tendresse, c'était juste parfait.

Une seule chose à dire : ENCOOOOORE !

j'adore ce couple

Merci bien
Attendez-vous à avoir encore des nouvelles de ces messieurs

que j'aime à les retrouver ces deux là

Génial, j'ai adoré ces deux prompts BRAVO

Merci bien

En voilà d'autres :

Aide :

"Aïe !"
Will se passa une main sur le visage et souffle de désespoir. Depuis le matin, sa journée n'avait été remplie que de poisse et de malchance. Beaucoup de malchance. Il pouvait pas faire un pas sans trébucher ou marcher sur les popos des clébards. Déjà qu'il ne tenait pas les chiens dans son cœur, alors là, c'était pire.
Il porta son index à sa bouche et il y aspira la gouttes de sang. Il venait de se couper avec son agenda, la vive douleur lui avait fait lâcher ses clefs de voiture et son téléphone, génial. Heureusement pour lui que la journée prenait fin, il n'en aurait pas supporter d'avantage.
"Un coup de main ?"
"Non merci," répondit Will sans même prendre la peine de se retourner.
Il n'avait qu'une seule et unique envie, rentrer chez lui et se faire couler un bon bain.
"Sûr ?" insista le bon samaritain.
Will décida d'être poli, alors il se retourna et qu'elle fut sa surprise de se trouver devant Randy. Le dragueur, beau comme un dieu qui ne le lâchait plus depuis plusieurs semaines.
"Certain, merci quand même," se força-t-il à sourire.
Randy s'approcha et s'appuya contre la portière du conducteur : "Je te propose mon aide et toi en échange, tu me jettes. C'est sympa."
"Je t'ai dit non merci," lui rappela le jeune homme.
"Vu la pointe d'énervement que je sens venir de toi, je suppose que toi et le beau brun ça fonctionne toujours ?"
"Comme sur des roulettes," assura Will.
Le dragueur lui tendit la main : "On peut tout de même devenir amis ?"
Will sourit. Comme s'il allait gober un truc pareil. Il regarda la main tendu et finit par la serrer.
"Si tu as besoin de quoi que se soit, n'hésite surtout pas," lui dit Randy avant d'ajouter, "tu as toujours mon numéro ?"
Will le fixa en souriant : "Oui. J'ai pas eu le temps de le jeter."
Randy eut un petit rire. Cela allait faire près de quatres mois, qu'il lui avait refilé son portable. Si Will l'avait gardé, il allait pas le laisser partir.
"Bonsoir Will. Et à la prochaine."
Will le salua également. Ce mec l'avait dragué impunément, et au départ cela ne lui avait pas trop plu, mais maintenant,il s'en amusé. Et Will se surprit lui même à ne pas avoir jeter le fameux bout de papier où était inscrit le numéro de Randy. Ce dernier était plutôt marrant et très gentil, et un ami de plus, ne lui ferait pas de mal.

Aiguille :

"Will," soupira Jeremy pour la douzième fois.
"M'approche pas," lui cria Will en reculant de plus en plus.
"Je vais pas te bouffer, alors arrête un peu."
Les deux hommes s'affrontèrent du regard. Voilà déjà une heure qu'ils se tournaient autour comme deux fauves.
Jeremy voulait juste rendre service à son amant, mais ce dernier ne voulait pas qu'il l'approche et ni le touche. Pas tant qu'il aurait ce truc entre les mains.
"Willhem chéri," reprit doucement Jeremy. "Si tu veux plus avoir mal, laisse moi faire et arrête tes caprices."
Le regard de Will se fit plus noir : "Je ne fais pas des caprices et de tout façon, j'ai plus mal."
Jeremy ferma les yeux, comme s'il allait le croire. Will avait les larmes aux yeux et sa voix tremblait.
"Bon, dis moi au moins comment tu t'es fais ça ?" demanda l'ainé.
"Premièrement, tu sais que j'ai deux mains et deux pieds gauches," commença Will, "et j'aime pas avoir froid et..."
"Abrège," le coupa Jeremy.
Will baissa la tête. Tout ce cinéma pour une simple écharde, simple mais douloureuse. Il était tout à fait d'accord pour Jeremy la lui enlève, mais avec autre chose qu'une sale aiguille. Ces machins longs et piquants lui faisaient peur. C'était viscérale.
"Je voulais allumer la cheminée, un morceau de bois m'a glissé des mains et voilà le résultat," finit par expliquer Will en exhibant sa main gauche blessée.
"J'irais doucement," promit Jeremy, "et si tu es sage, tu auras le droit à une belle surprise."
Le jeune homme fut subitement très intéressé. Alors, il obéit à son amant et le laissa entrer dans son espace personnel, ainsi que l'objet de torture.
Une fois le vilain bout de bois enlevé, Jeremy cacha l'aiguille et déposa un baiser sur le front de Will.

Alibi :

Les deux hommes étaient installés sur le canapé du salon devant la télévision. Le plus jeune était concentré sur le déroulement du film, alors que l'ainé rêvassait tout en passant une main paresseuse dans les cheveux de son amant. Le film ne l'intéressait absolument pas, surtout les téléfilm à l'eau de rose dont Will raffolait. Et depuis qu'il connaissait le jeune homme, Jeremy commençait à faire une overdose de bon sentiment et d'amour parfait. Beurk.
"Comment elle ment trop mal, c'est pas crédible."
"Pourquoi tu regarde alors ?" demanda Jeremy.
"Pour me moquer," répondit-il, "et aussi parce que j'aime bien," avoua-t-il plus bas.
Jeremy secoua la tête : "T'es quand même bizarre."
"Pas bizarre, mais moi je sais mieux mentir et j'aurais trouvé un bien meilleur alibi," fit-il en pointant la brunette infidèle de l'écran.
"Lequel ?"
Will lui fit face et commença : "D'abord, je te l'aurais embobiné comme il faut, il aurait rien remarqué. Ensuite sous la couette pour passer à autre chose, c'est aussi simple que ça."
"Je sais pas si je dois casser le fait que tu peux mentir allégrement dans la case défaut ou qualité ?" réfléchit l'ainé.
"C'est pas mentir, mais arranger à sa sauce."
"Ok, on va arrêter là."
Ils se réinstallèrent sur le canapé, Jeremy perdu dans ses pensées. Si jamais il lui prener l'envie de tuer quelqu'un, il demanderait à Will de témoingner en sa faveur.

Génial ces trois prompts un coup de coeur pour le troisième, il m'a bien fait

BRAVO

J'ai beaucoup aimé le premier, moi...
Le retour du gros lourd de Randy... n'empêche, il me fait un peu peur celui-là.

Le retour de Randy le dragueur

Avec du retard, Merci beaucoup
J'ai hésité si oui ou non je continuais à poster et je me suis dit que oui
Donc en voici deux autres :

Alcool :

"J'ai comme l'impression de voler !"
"J'ai comme l'impression d'étouffer," soupira Will en essayant de ne pas tomber.
Il plaqua Jeremy contre lui et attrapa ses clefs dans sa poche. Cela ne fut pas chose aisée, surtout que l’aîné essayé de le dépoiler.
"Hein, que moi être adorable, mignonne, gentille et vachement coooool ?" murmura Jeremy.
Will sourit, les fit entrer dans la maison et jeta plus que posa, son amant rempli jusqu'au coup d'alcool sur le canapé.
"Mais oui tu es une gentille fille qui est complètement bourrée," répondit le jeune homme en prenant place à ses côtés.
Jeremy vint se coller automatiquement à lui, à moitié endormi.
"Pourquoi tu souris ?" demanda l’aîné.
"Je pense à la gueule de bois que tu vas avoir en te réveillant."
Jeremy grogna, lui tira la langue et posa sa tête sur les cuisses de Will.
Avant de sombrer, il souffla : "Fait moi penser de tuer Stan."
Will acquiesça en lui caressant tout doucement les cheveux.
Lui, il allait plutôt remercier le meilleur ami de son amant pour cette superbe soirée. Grâce à ça, il en avait appris énormément sur son homme, sur son ami et sur tout le monde en faite.
Il allait pouvoir en faire chanter pas mal.
Merci Stan et merci la vodka.

Araignée :

"On dirait Elvis."
Jeremy arracha le livre des mains de son homme pour le regarder de plus prés.
"C'est Bananes Métalliques, une de mes BD préférée et une de mes premières," avoua-t-il.
L’aîné était descendu dans la cave pour aller récupérer deux trois bricoles et Will en avait profité pour le suivre. Il voulait lui donner un coup de main, mais surtout fouiller un peu. Les caves pouvaient cacher beaucoup de secrets.
La cave faisait presque toute la maison et il avait eu l'agréable surprise de ne pas sentir d'odeurs de moisissures et l'ensemble était plutôt propre. À croire que les femmes de ménages passaient par là aussi.
Will posa sa main sur un vieux meuble et fit la grimace. Ça sentait peut être pas trop mauvais, mais la poussière était belle et bien là.
Le jeune homme avait repéré quatre cartons dans un coin en bonne état, il était aller y mettre son nez. À l'intérieur, il y avait une collection impressionnante de BD.
"T'as pas Spider-man ?" demanda Will à son amant.
Jeremy fronça les sourcils : "Non. Mais j'ai Batman qui doit être dans le carton à ta droite."
"Je préfère largement Peter Parker," sourit le jeune homme en continuant ses fouilles.
"Je croyais que tu avais peur des araignées ?" se moqua Jeremy.
"Si j'en avais peur, je ne serais pas venu avec toi. Et si lui veut me piquer, moi je ne dirais pas non."
L'aîné lui donna une tape derrière la tête : "Tu vas voir qui sais qui va te piquer."
Will eut un sourire lubrique et s'approcha de son amant.
"La cave serait sûrement très jalouse d'être la seule pièce qui n'a pas eu l'honneur de nous voir nu."
Jeremy secoua la tête et sourit. Il referma un carton et étouffa un cri quand Will lui agrippa la ceinture par derrière pour le coller contre son torse. Il arrêta de respirer quand il entendit la voix douce et chaude de son amant lui murmurer à l'oreille : "C'est pas pour rire Jeremy."
L'aîné attrapa son amant par la main et le conduisit jusque dans la chambre. Pour le sous-sol, ils y reviendront plus tard.

Génial, j'ai adoré voir Jérémy complétement saoul ça vaut le détour
et les cartons de bandes dessinées, j'adore la phrase t'as pas Spiderman ? Non mais j'ai Batman qui doit être dans le carton à ta droite

BRAVO j'ai adoré

J'ai bien ri en lisant "tu es une bonne fille"^^.

Jérémy n'est pas drôle. Puisque Will voulait le faire à la cave... résultat : on n'a pas de détails !

j'ai adoré

Merci
Je m'excuse d'avance de faire revenir Randy, vu que je sais qu'il n'est pas trop apprécié et je comprends pas pouquoi il est gentil se garçon pourtant

Aller, en voici trois autres :

Barque :

"C'est quoi cette horreur ?" demanda Jeremy en entrant dans la bibliothèque.
Will se tourna vers lui et suivit le doigt de son amant.
"Oh, ça ?"
"Oui, ça, ce truc, ce machin !!"
Will sourit et prit son amant par la main, ils se postèrent devant le tableau qui venait d'effrayer Jeremy à son entrée.
"Peter est descendu à la cave, merci d'avoir demander à ce qu'elle soit nettoyer," sourit Will en repensant à ce qu'ils avaient fait à l’intérieur une fois qu'elle fut nickel. Il secoua la tête et reprit : "Au bout de 15 minutes, je suis allé voir s'il était encore en vie. Et quand je me suis mis à sa hauteur, il avait à peu prés la même tronche que toi."
Avant que Jeremy ne se décide à le frapper, il poursuivit : "Derrière une des étagères, il a trouvé plusieurs tableaux, dont celui-ci."
"Mais c'est moche et ça représente quoi d'abord ?"
Will soupira, et dire que c'était lui qui avait fait le moins d'études, c'était quand même lui le plus cultivé, à rien y comprendre.
"Mon grand," commença-t-il, "je te présente La Barque de Dante, ou Dante et Virgile aux enfers. Le peintre s'appelle Eugène Delacroix et il était français."
Jeremy assimila les informations et voulut savoir : "Il date de quelle année ?"
"1822, mais cherche pas, t'en tirera pas énormément."
"Pourquoi ?"
"L'original est exposé au Louvre, ce que tu as devant toi et une excellente copie," lui apprit Will.
Jeremy haussa les épaules et lança : "Je veux pas de ça ici."
"Même pas dans la chambre ou même ici ?" demanda le jeune homme.
"Non mais t'es pas bien toi. Tu remets Dante et sa barque dans la cave, ou même mieux," fit Jeremy en posant ses mains sur les épaules de Will, "tu prends cette horreur, tu vas la vendre et avec l'argent, tu fait les réparations de ta voiture."
Will n'eut même pas le temps de répondre, que son amant lui posait un baiser sur les lèvres et sortait de la pièce.
Le jeune homme sourit et revint devant le tableau. Il était pas si moche que ça en fin de compte, un peu morbide, mais pas moche. Et quoi que dise son amant, il allait le garder.

Bottes :

"J'adore ! Je trouve ça très chouette !" s'exclama Peter. "T'en pense quoi ?"
Will, qui commençait à avoir mal aux fesses à force d'être assis sur une chaise dur depuis bientôt une heure, releva la tête vers son ami.
Peter écarta les bras et fit un tour sur lui même.
"Alors ?!"
"C'est pas...mal," répondit Will.
"Pas mal comme super ou comme beurk ?" demanda Peter.
Will souffla. Quand son ami était venu le chercher chez lui pour une après midi shopping, il ne pensait pas qu'il le regretterait à ce point.
Peter continuait de la fixer en attente d'une réponse, alors il consentit à la lui donner en étant aimable :"C'est super," sourit Will.
Aimable oui, honnête non.
Peter retourna à ses essayages et Will à sa contemplation du décor tout en jouant avec le téléphone de son ami.
"C'est bon," fit Peter en posant une main sur son épaule.
Will se leva et vit que son ami avait une boite entre les mains.
"Tu te les prends ?"
"Pas pour moi," lui apprit Peter, "mais pour Jeremy."
Will lui chopa le bras et lui prit la boite des mains. Il fallait être honnête.
"C'est bottes sont immondes. Hors de question que Jeremy porte ça."
Peter tiqua : "Elles sont pas assez belles pour ton mec, mais par contre, elles sont super pour ton meilleur ami ? Merci Willy."
"Mais à toi, tout te va. T'as la classe en toi," se rattrapa le jeune homme. "Par contre, dés que tu mets des choses...originales à ton frère, il ressemble à rien."
Peter sourit, sur ce point, il était d'accord avec son ami. Il reposa les chaussures sur le comptoir et traîna Will vers d'autres magasins.

Bibliothèque :

"Et le meilleur pour la fin," sourit Will en précédant son invité dans la pièce, "ma pièce de prédilection."
Randy fit le tour des lieux et fut impressionné.
"Cette maison est splendide et merci de m'avoir fait visiter," dit il en se tournant vers son ami.
À force de persuasion et de harcèlement, Will avait fini par accepter de lui faire visiter son chez lui. Enfin, chez lui et son amant. Amant qui avait bien de la chance d'avoir un homme comme Willhem à ses côtés.
Randy souffla et s'approcha du jeune homme tout doucement. Will sourit et recula, quand son dos heurta une des bibliothèques il mit ses mains devant lui.
"Randy, reste où tu es."
"Je vais pas te violer. Pourtant c'est pas l'envie qui me manque," murmura-t-il en se passant la langue sur les lèvres.
Will lui tira la langue et le fit s’asseoir sur le canapé. Il regarda l'heure à la pendule et vit qu'ils avaient encore deux heures devant eux avant que Jeremy ne rentre.
Randy attrapa un livre sur la table et l'ouvrit.
"Il est bizarre ce livre."
"C'est mon journal," lui apprit Will.
"Je peux y jeter un œil ?" demanda Randy.
"Non."
Will eut la surprise de voir son ami reposer la carnet la où il l'avait trouvé. Il tourna la tête vers Randy et l’interrogea du regard.
"Tu m'as dit non," sourit le jeune homme. "Je veux pas être ton ennemi, donc je respect ton espace privé."
Will secoua la tête et regarda Randy observant tout les coins et recoins de son antre.
"Je pourrais...euh...enfin..."
"Emprunter un livre ?" finit Will.
"Ouais," souffla-t-il.
"Aucun problème mon gars. Il faut juste que j'en parle à Jeremy et que vous vous rencontriez."
Devant les gros yeux de Randy, il continua : "Je peux pas te cacher indéfiniment."
"Pourquoi pas ?"
Will passa un bras sur ses épaules et lui confia : "Je suis sûr qu'il va t'adorer."

Génial ces trois prompts

discussion autour d'un tableau, qui en plus se trouve être une copie, ça m'a bien fait

Les bottes qui vont bien à Peter, mais qui n'irait pas sur Jéremy son frère ^^

Et j'imagine très bien la rencontre entre Randy et jeremy, je crois que cela va valoir de l'or

BRAVO

La rencontre entre Randy et jeremy risque d'être intéressante.

Super ces trois prompts !

le coup des bottes, trop fort le Will. Comme dit Peter, assez moches pour lui mais surtout pas portables par son mec.

Randy est dans la place Jérémy ferait bien d'avoir l'oeil !

Merci encore et toujours

Banque :

"T'as des soucis avec ton banquier ?" demanda Jeremy en s'asseyant prés de son amant.
"Disons que maintenant, c'est au tour du directeur de la banque de me faire chier," s'exaspéra Will. "Quand t'as du fric, ils te déroulent le tapis rouge et dès que t'as un petit découvert, ils arrêtent pas de te harceler !"
"Ils font leur boulot," lui dit Jeremy.
Will siffla entre ses dents. Il ouvrit la bouche, mais la referma aussi vite. Ce n'était pas l'heure pour une dispute. Surtout qu'il n'en avait ni le temps, ni l'envie.
"Au lieu de payer un garagiste hors de prix, tu ferais mieux de t'en racheter une," fit Jeremy en parcourant des yeux un des relevés de comptes.
Le jeune homme lui arracha le papier des mains sans un mot.
Ils restèrent dans le silence un bon moment. Will étudiait les documents qu'il venait de recevoir et Jeremy observait son amant.
"Tu as peut être un truc à me dire ?" tenta l'aîné.
"Comme quoi ?" répondit Will sans lui accorder un seul regard.
"Bin je sais pas, tu dois bien avoir un truc sur le cœur."
Will posa les papiers sur la table et ferma les yeux.
"Jeremy," commença-t-il, "a tu eu une seule fois dans ta vie, des problèmes d'argent ?"
"Non."
"Dès qu'un truc te plaît, tu te l'offre sans réfléchir ? Tu te pose aucune question ? Du genre, est-ce que tu pourras ensuite payer ton loyer, payer tes courses ou payer des réparations de toutes sortes ?"
Jeremy voyait très bien où son amant voulait en venir, alors il s'excusa et laissa Will tranquille.
Il finirait bien par faire en sorte que cette tête de mule accepte un peu d'aide côté finance.

Bordel :

"Mais c'est quoi ce bordel ?!" s'écria Peter en entrant dans la cuisine.
Will releva vivement la tête et regarda autour de lui.
"Quoi ?" dit-il.
"Quoi !" répéta Peter. "On dirait qu'une tornade vient de passer par là et à en voir les dégâts, sûr que c'était une F5."
Will souleva les épaules et retourna à sa préparation. Il pensait pouvoir ranger avant que Peter ou même Jeremy ne rentrent, mais c'était loupé.
Peter souffla et s'approcha de son ami.
"Tu fait quoi de si salissant ?"
"Des cookies," répondit Will doucement.
Peter sourit : "T'as du mal lire la recette."
Will le regarda sans comprendre, alors son ami reprit : "Je pense pas que dans le livre il y est marqué : retapissez vos mur avec de la farine et saupoudrez votre sol avec du chocolat."
Will rougit et lui donna un coup dans le ventre.
C'était pas sa faute si le batteur et tout les autres ustensiles de cuisine s'étaient ligués contre lui.
"Tu m'aides ?" supplia presque Will.
Peter secoua la tête et attrapa un torchon.

Bougie :

Will flânait dans les rayons et observait minutieusement chaque articles.
Il aimait bien venir ici, il y trouvait toujours quelques choses et bien souvent, ce n'était que des cochonneries ou des trucs inutiles. Mais il adorait ça.
Il s'avança doucement et au détour d'un rayon, il fut assailli par toutes sortes d'odeurs, toutes plus alléchantes les unes que les autres.
C'était son coin préféré et le plus coloré. Il attrapa une bougie et sourit en lisant le parfum.
Prune Cognac.
Impressionnant le nombre de parfum qu'il pouvait y avoir. Il paraîtrait même que certains étaient aphrodisiaques. Intéressant à savoir pensa-t-il tout sourire.
Quoique, ils n'en avaient pas vraiment besoin. Il faudrait plutôt qu'il trouve une odeur qui calme les pulsions et les hormones de son homme. Car à ce rythme, son dos n'allait pas tenir longtemps. Son dos et aussi ses fesses.
Et puis zut, on avait qu'une seule vie, alors autant en profiter à fond. Il attrapa le lot de ondes sensuelles et caresses vanillées et partit tout sourire payer ses, pas si inutiles que ça, petits achats.

L'état des finances, sujet critique

Dans la cuisine, j'imaginais trop la petite moue que Will devait faire...

J'ai adoré le dernier, encore plus que les deux autres. Quel petit coquin !

Le dernier est vraiment génial

J'étais d'humeur morose et avec tout ces prompts tu m'as redonné le sourire. Merci et bravo.

Génial ces trois prompts le deuxième m'a beaucoup fait
Le premier, l'argent quel beau sujet et surtout que de crise il peut apporté
le troisième

BRAVO

Merci
Trés contente que cela vous plaise

Coffre :

Will se laissa tomber sur le sol en admirant sous tout les angles sa trouvaille.
Argent en poche, il avait fait tout les magasins de meubles de la ville. Y compris les brocantes et les vides greniers.
Et quand il l'avait vu, cela avait été le coup de foudre, son coup de cœur, presque son grand amour.
Il contempla encore une fois son achat et sourit.
La porte s'ouvrit et le sortit de sa rêverie.
Jeremy se pencha, l'embrassa et prit place sur le canapé de la bibliothèque.
"T'as changé la table ?" remarqua-t-il en y étendant ses jambes dessus.
"Si tu n'enlèves pas tes pieds de cette table, je te les brises !" le menaça Will en se levant.
Jeremy retira ses pieds et s'installa convenablement.
"Elle a quoi de si particulier ?"
"C'est une table basse coffre," lui apprit Will. "Quand j'étais gosse, une des familles d'accueils où je suis allé en avait une. Le père y cachait ses pornos, ses capotes et des trucs inimaginables. On a bien rigolé le jour où on a réussi à l'ouvrir," se remémora-t-il en souriant.
"Toi aussi tu vas y planquer tes pornos ?" se moqua Jeremy.
"Mes carnets," lui révéla Will dans un sourire.
Le jeune homme vit les yeux de son amant briller, l’aîné devait se dire que maintenant qu'il savait où aller être les carnets, il pourrait essayer de les lires. Mais Will lui fit perdre tout espoir quand il lui dit : "Avec le coffre, il y a une clef."
Jeremy se renfrogna et Will éclata de rire. Il avait bien fait de s'offrir ce meuble.

Carte :

Il était énervé ! Enragé plutôt.
Et dire que sa journée avait si bien commençait. Il s'était réveillé dans les bras de son homme, ils avaient fait un magnifique câlin matinal et encore un sous la douche après. Vraiment parfait.
Peter leur avait préparé un petit déjeuner digne d'un roi et plus que consistant.
Ensuite il avait déjeuné avec Jeremy dans un bon petit restaurant.
Et pour finir en beauté, Will avait passé l’après-midi avec Randy et son nouvel ami l'avait bien amusé.
Et en une fraction de seconde, son petit monde merveilleux venait de s'écrouler, de se briser, de voler en éclat.
Bon, il en faisait sûrement tout une montagne pour rien, mais ce qu'il tenait entre ses mains l'agaçait au plus haut point.
Comment une simple carte d'anniversaire pouvait vous pourrir la vie aussi simplement ? Comment un bout de carton pouvait vous faire mettre dans un état pareil ?
Will relut les quelques mots inscrit à l'arrière : "Un ans de plus, encore une étape. Mais ne change surtout rien, tout est parfait. Je te souhaite un très très bon anniversaire. Je t'embrasse. Jeremy."
Will savait que Nolan avait une place dans le cœur de Jeremy. Pas aussi important que la sienne, mais une place quand même.
Il hésitait entre la mettre à la poubelle comme l'aurait fait un pauvre type jaloux ou alors, la remettre à sa place comme l'aurait fait un type bien qui avait confiance en son homme.
Will se reprit et souffla. Après tout, ce n'était qu'une carte d'anniversaire, il n'y avait ni petit cœur, ni déclarations d'amours. Même si certains mots étaient assez ambigus.
Mais comme le lui avait dit Jeremy un jour : "Toi tu as Peter et Randy. Moi j'ai Stanley et Nolan."
Et depuis, ils n'en reparlaient plus.
Will reposa la carte sur le comptoir de la cuisine et monta prendre une douce, histoire de calmer sa jalousie.

Choix :

"Resident Evil !"
"L'arme Fatale !"
"Milla Jovovich est quand même plus bandante que Mel Gibson."
"Pour un hétéro peut être, mais pour moi non !"
Jeremy poussa un profond et long soupir d'épuisement. Il se renfonça dans le canapé et ferma les yeux.
Ils allaient le tuer.
Il se massa les tempes et pria intérieurement pour que tout s'arrête.
Quand il avait proposé une petite soirée tranquille devant un bon film et des pizzas, il n'aurait jamais imaginé que cela aller être aussi éprouvant. Jeremy sentait la mal tête arriver au galop.
"Pourquoi c'est encore toi qui décide ?!"
"Parce que c'est la vie !"
"Tu fais chier Peter !"
Jeremy souffla et se leva pour s'interposer entre son amant et son frère.
"Stop !" s'énerva-t-il. "On arrête les cris et les injures."
"Mais..." commença Peter avant de vite se taire, face au regard noir de son aîné.
Et avant que Will ne puisse lui aussi ouvrir la bouche, Jeremy le bâillonna de sa main.
"Laissez moi en poser une et après, vous pourrez vous taper dessus autant de temps et de fois que vous le voudrez."
Les deux jeunes hommes se regardèrent en se fusillant du regard, mais finirent par lever les mains en signe d’abdication.
Jeremy les fit s'asseoir et leur prit les films des mains. Il regarda les deux boîtiers et prit une grande inspiration.
"Je sais que le choix est très difficile," dit-il avec une pointe d'ironie, "je déteste les deux. Vous vous comportez comme deux gamins ! Ça fait plus d'une heure que je vous attends et vous entends. J'en ai marre. Je sature. Donc quand vous aurez réussi à vous décider, vous me ferez signe !"
Une fois sa tirade fini, il monta dans sa chambre, se mettre au calme.
À peine avait-il fait la moitié du chemin qu'il entendit ces sales gosses repartirent sur leur dispute.
Ils allaient vraiment le tuer.

Non, non, Jérémy... tu n'en sauras pas plus... n'essaie même pas de fouiller dans les carnets de ton homme

Décidément, même si Will considère Randy comme son ami et qu'il passe d'agréables moments avec lui en toute amitié, j'ai toujours l'impression qu'il va commettre un mauvais coup... aucune confiance en lui !

mais les sales morveux ! On dirait mes gosses ! Je plains ce pauvre Jérémy de devoir supporter ces gamins qui se chamaillent!