Prompts "originals" de Jersey

Fandom: Originale (ma première!)
Pairing: Zoran/Gaël.
Genre: Dark/Lemon.


Tapi dans l'obscurité de la ruelle, Zoran observait nerveusement les vitrines aux néons rouges qui attiraient son regard. Il ne savait pas pourquoi ses pas l'avaient conduits ici, dans ce quartier chaud que la plupart des gens considèrent comme le berceau du Diable. Mais l'essentiel est qu'il était là, n'osant sortir de l'ombre que pour vérifier que personne ne l'observait.

Ce que les filles de la rue proposaient à leurs clients, il ne l'avait jamais expérimenté. Mais le sort avait voulu qu'il soit non seulement vierge mais également attiré par les hommes. Il le savait depuis le jour où son regard s'était posé sur son jeune prof de chimie. Mais Zoran n'aimait pas prendre des risques. Il n'aurait jamais donc proposé à cet homme de tenter quoi que ce soit, quand bien même savait-il qu'il était lui aussi gay.

A 23 ans, tous les autres garçons de sa promotion avaient déjà eu au moins une expérience et Zoran était honteux de trainer cette virginité qu'il considérait comme un boulet et un frein à son épanouissement. Il avait décidé que, quand bien même il devrait fréquenter une fille, demain il ne serait plus puceau.

Alors qu'il s'avançait timidement vers les néons rouges qui l'aveuglaient, il stoppa net en entendant des pas derrière lui. L'instinct lui commanda de se retourner et il eut le souffle coupé. L'homme se tenait appuyé sur le mur, une cigarette aux lèvres sur laquelle il tirait furieusement. Ses cheveux bruns étaient éclairés par le lampadaire sous lequel il était juché. Il était grand et semblait charismatique.

Il s'approcha lentement de Zoran, avec l'allure qu'aurait eu un prédateur prenant en chasse sa future proie. Le jeune homme se colla dos au mur et plongea son regard dans celui de son aîné. Il avait les yeux incroyablement verts et son sourire était plein de bonté, ce qui l'étonna. Il s'attendait, en ces lieux, à trouver un être scabreux mais rien qui ne lui rappelait l'innocence et la douceur.
Tirant toujours sur sa cigarette, il interpella le jeune homme.

Gaël: Dis donc, petit... t'es pas un peu jeune pour venir ici?
Impressionné par le charisme et la sensualité de cet homme, Zoran déglutit péniblement avant de répondre.
Zoran: Qu'est-ce que vous voulez?
Gaël eut un sourire entendu. Il jeta son mégot à terre et fondit doucement sur le jeune homme qui retint son souffle. Puis, il s'approcha de son oreille afin de lui murmurer quelque chose.
Gaël (sensuellement): Et toi, qu'est-ce que tu veux?

L'aîné connaissait très bien la réponse. Peu de gens venaient dans ce genre de quartier pour simplement se balader. Ses larges mains partirent à la conquête du torse du jeune homme qui ne retint pas un gémissement en sentant les doigts de son désormais compagnon caresser son torse. Sa peau était chaude sous les longs doigts qui parcouraient son corps et Gaël, voyant le jeune homme fermer les yeux et se mordre la lèvre, eut un sourire satisfait.
Ne voulant pas effrayer son jeune compagnon, il s'approcha lentement de son visage et effleura les lèvres offertes. Il fut surpris que Zoran, poussé par la passion du moment, s'empare des ses lèvres chaudes en un baiser fougueux. Il pensa alors que le jeune homme, malgré ses gestes maladroits, n'était pas si innocent qu'il en avait l'air car bientôt, leurs langues se mêlèrent et commencèrent à se tester.

Gaël savait bien que Zoran était encore vierge. Il l'avait remarqué rien qu'à la façon dont le jeune homme regardait les vitrines d'un air appeuré mais lubrique. Et il ne souhaitait pas être le premier à le prendre, pas dans ces conditions en tout cas. Il l'aurait fait avec d'autres hommes mais il y avait quelque chose en ce jeune homme qui lui interdisait de laisser sa bestialité s'exprimer. Il le trouvait pur et attirant, bien plus que les mots ne pouvaient l'exprimer.

Il se contenta, entre deux baisers, d'introduire sa main dans le pantalon du jeune homme dont l'érection devenait plus que douloureuse. Doucement, il défit le jean de son compagnon et, sous les yeux ébahis de celui-ci, se mit à genoux devant lui.

Il n'était pas question de dominant/dominé, ni de soumission. Simplement un homme qui s'offrait d'initier un autre au plaisir et à la volupté. Et dès que ses lèvres entrèrent en contact avec la virilité de son compagnon, il entendit le son merveilleux d'un gémissement gutural profond. Très vite, de fins doigts s'insinuèrent dans ses cheveux afin de le rapprocher encore plus près du corps qui se tendait comme un arc. Il ne dut pas insister bien longtemps avant que le jeune homme ne finisse par jouir dans un râle qui le surprit lui-même. Jamais il ne s'était senti comme ça et son corps était parcouru de spasmes. Si le mur ne l'avait pas supporté, il aurait très bien pu défaillir.

Gaël se releva et, un sourire aux lèvres, embrassa le jeune homme qui put gouter sa propre semence sur la langue de son compagnon d'une nuit.
Puis, il sortit une cigarette de sa poche et l'alluma. Zoran, toujours interpellé et fasciné par cet homme, ne bougeait pas.

Finalement, après un dernier regard, l'aîné s'éloigna, le sourire aux lèvres.
Il se retourna une dernière fois et interpella à nouveau Zoran.
Gaël: Tu devrais pas traîner par ici... rentre chez toi, p'tit.

Zoran voulut le suivre ou au moins lui demander son nom. Mais avant qu'il ne puisse commander à ses jambes de bouger, Gaël disparaissait dans la nuit glacée.

Fandom: Original.
Pairing: Zoran/Gaël.
Genre: OS/Slash.

Cela faisait plus de deux semaines que Zoran avait fait la connaissance de Gaël ou plutôt, de celui qu'il appelait "son ténébreux inconnu". Malgré les conseils de ce dernier, il s'était rendu une fois de plus au Redlight District, espérant vivement le croiser à nouveau, en vain.

La nuit était calme et les rues désertes en ce jour d'Octobre. L'air commençait à devenir froid et les feuilles prennaient une couleur d'automne. Alors qu'il se réchauffait autour d'un café au lait qu'il prenait comme tous les soirs au bar du coin, il ne leva les yeux de son livre que quand il entendit cette voix qu'il connaissait et son regard fut attiré par cette silhouette familière. Son inconnu était là, accoudé au bar, un verre de bourbon à la main. D'un geste délicat, il sortit une cigarette de sa poche et Zoran pensa que son habitude à fumer, aussi malsaine soit elle, était quelque chose de bougrement érotique. La façon dont son aîné tenait cette cigarette entre ses doigts, la rapprochant de sa bouche et tirant une bouffée de tabac lui rappelait bien d'autres choses.
Prenant son courage à deux mains, il s'approcha du comptoir et accosta son compagnon d'une nuit.

Gaël eut un sourire espiègle. Il devait bien se l'avouer: ce gamin lui plaisait. Il se demandait jusqu'où la témérité du jeune homme pouvait bien aller et il allait tester ses théories sur le champ.

Zoran (gêné): Euh... salut.
Gaël (un sourire aux lèvres): T'as aimé ça, hein?

Zoran ne put s'empêcher de rougir, ce qui fit sourire de plus belle son compagnon qui vida son verre de bourbon d'une traite.
Puis, il posa une main sur l'épaule du jeune homme, ce qui les fit se regarder et plonger leurs prunelles l'une dans l'autre.
Gaël: Viens, on va prendre l'air.

A peine furent-ils dehors que l'aîné des deux alluma une autre cigarette. Cette fois, ils ne se cachèrent pas dans une ruelle pour s'adonner à quelque activité. Ils restèrent sur le trottoir à discuter. Enfin, plus précisément: Gaël posait les questions et Zoran se contentait d'y répondre.
Ils ne se connaissaient pas mais aucun des deux ne chercha un détour dans ses mots. Ils répondaient aux questions de l'autre avec franchise et honnêteté.
Gaël: T'étais là bas pour passer ta première fois?
Zoran: Ouais. Mais j'aime pas les filles.
Gaël: Pourquoi t'es allé là alors?

Pour toute réponse, le jeune homme haussa les épaules et Gaël savait qu'il était allé dans ce quartier dans l'unique but de se débarrasser de sa virginité comme un adolescent qui la traine comme un poids et veut franchir le pas au plus vite, peu importe avec qui. Le jeune homme élancé n'était pas d'accord avec cette théorie. Des hommes et des femmes, il n'en avait connu que trop et il regretterait toujours que sa première fois n'eut pas été plus magique et merveilleuse. Il ne savait pas pourquoi il se prenait d'affection pour ce gamin mais il ne se résolvait pas à le laisser gâcher ce moment unique comme lui l'avait fait.

Zoran: Pourquoi tu es venu?
Gaël, appuyé contre la vitre du bar d'une façon nonchalente, fixait le trottoir essayant de savoir s'il devait être franc ou mentir par intérêt.
Gaël: Il fallait que je te revoie.
La perplexité et le doute se lisaient facilement dans les yeux du jeune homme qui lui faisait face.
Zoran: Pourquoi?
Gaël: Ce n'est pas là-bas que tu te débarrasseras de ta virginité correctement. Regarde-toi, tu mérites beaucoup mieux que ça.

Zoran eut un petit rire ironique qui glaça le sang de Gaël. Sous ses airs indifférents et distant se cachaient en fait un coeur qui n'avait que trop souffert. Et le rire du jeune homme le transperça d'une manière qu'il n'appréciait guère.
Zoran: Tu me connais même pas.
Gaël: Je sais quel genre de mec tu es...
Il prit une pause et son ton devint plus grave. Il planta ses yeux verts ambrés dans ceux du jeune homme afin qu'il comprenne bien ce qu'il avait à lui dire.
Gaël: Je ne veux pas que tu y retournes. Promets-moi que tu n'y ira plus.

Sans qu'il ne sache très bien pourquoi, il se pencha vers son compagnon et déposa un baiser sur ses lèvres. Celui-ci n'avait rien d'affamé ou de lubrique mais était simplement incroyablement doux.
Zoran: Pourquoi?
Gaël: C'est dangereux. Tous les mecs qui y passent ne sont pas aussi gentils que moi.

Zoran, bien qu'il se promit intérieurement de ne pas y retourner, se demanda pourquoi son compagnon s'en souciait. Le voulait-il pour lui seul? Voulait-il prendre sa virginité et l'exhiber comme un trophée?
Zoran (le ton timide): Tu... tu fais le trottoir?
Gaël: Non.
Zoran: Alors pourquoi tu fais ça?

Gaël esquissa un petit sourire triste et mélancolique.
Gaël: Parce que je suis un mec qui te veut du bien.

Il se pencha une dernière fois sur l'homme qui lui faisait face. Il paraissait tellement jeune et vigoureux et sa candeur n'était pas sans charme. Mais plus que ça, Gaël sentait qu'il avait un devoir envers ce gamin qu'il commençait à apprécier plus que de raison. Il l'embrassa doucement sur le front, les tempes et enfin la bouche et fut heureux de sentir Zoran répondre à son baiser. Puis, alors qu'ils se séparaient, Gaël glissa une carte dans la main du jeune homme et commença à s'éloigner de lui, retournant à la nuit qui l'accueillait.

En observant la carte, Zoran savait que c'était une invitation à aller plus loin. En tout cas, à lui passer un coup de téléphone un jour ou l'autre et voir où le destin les conduirait. Il observa le petit bout de carton bristol qu'il tenait entre les doigts et sourit. Il connaissait enfin l'identité de son sensuel et mystérieux compagnon.
Sur le morceau de bristol se trouvaient le nom et le numéro de téléphone de son aîné.

Zoran: Je t'appellerai bientôt... Gaël Townsend.

C'est une histoire intéressante, dans laquelle on ne s'attend pas à ce que le mot trottoir arrive comme ça.

En revanche, je ne suis pas fan des prénoms devant chaque ligne de dialogue, je trouve que ça nuit à la fluidité de la lecture.

En tous cas, bravo pour ce nouveau prompt

Merchouuui

En général, je n'écris pas non plus avec les prénoms devant les dialogues mais j'essaie depuis quelques temps et ça dépend si j'ai beaucoup de lignes de dialogue ou pas (et de mon humeur en fait xD).

Puis c'est la première fois que j'essaie des originaux..

Ah oui, donc y avait celle-ci à lire d'abord.
Effectivement, l'autre devient un peu plus compréhensible et je comprends mieux l'utilisation de "trottoir" ensuite.

J'aurais peut être du mettre des chiffres xD. Au départ, je n'avais pas prévu de faire la suite avec les mêmes persos mais je voulais faire un original aussi et j'ai deux persos originaux, ça me suffit xD.

Mmm c'est très chouette! J'aime beaucoup Du mystère, de la sensualité, deux personnalités opposées, mais peut-être pas tant que ça, et une plume vraiment très agréable à suivre! Mes applaudissements nourris t'accompagnent, Jersey, mille bravo pour cette originale en espérant une suite, cela va sans dire!

Merci Val!!! ^^

je viens de découvrir ces persos et plus particulièrement Gaël et sonesprit protecteur envers Zoran

Oui Gaël est mon préféré parce que c'est la grande gueule du duo mais en fin de compte, il a un coeur d'or bien caché au fond de son être... Je devrais me remettre à écrire sur eux, ils me manquent.

Nouveau prompt, les amis!!! Ca faisait un bail hein? Comme j'ai vu que beaucoup d'entre vous avaient apprécié mon petit couple Johnny/Sasha, sachez que je remets le couvert! Allez zou, c'est parti...

Prompt: Insulte.
Pairing: Johnny/Sasha.
Genre: OS/Hurt/Comfort.
Notes: Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé est parfaitement normale. Non, Evan n'est pas méchant en vrai. C'est juste que je n'arrive pas à le saquer .

Ignoble insulte.

Il ne se souvenait plus si c'était lui ou Evan qui avait commencé. Au début, il ne s'agissait que de petits mots grincés entre les dents, rien de bien méchant. Des choses comme "Petit con" ou "Imbécile", pas de quoi fouetter un chat.

Puis les médias avaient flairé la bonne affaire. Ils avaient deux compétiteurs qui avaient grandi ensemble, qui se connaissaient par coeur et ils savaient comment les pousser à bout. Ils allaient les mener à se détester mutuellement ou du moins, à faire croire au public qu'ils se haïssaient. Ce n'était pas le cas. Johnny et Evan étaient indifférents l'un à l'autre. C'était peut être pire, mais ça leur convenait.

Ces médias, toujours eux. Ce sont eux, en réalité, les vraies langues de serpent. Johnny eut un petit sourire en voyant l'interview désastreuse de son "ennemi". Celui que maintenant, tout le monde surnommait "la Mangouste". Mais ce sourire ne lui procurait aucune joie, tout juste une légère satisfaction d'avoir été plus malin qu'Evan. Il ne se moquait pas du malheur des autres. Il était au dessus de ça. Alors, déchaussant ses patins, il rangea ses affaires et s'habilla pour rentrer chez lui.

Sasha ne l'avait pas attendu à la patinoire, ce qui l'étonna mais il ne s'en formalisa pas. Pourtant, dès qu'il franchit le seuil de leur appartement, il sentit que quelque chose n'allait pas. La panique s'insinua dans ses veines, comme le stress lors d'une compétition, prenant possession de lui. Il distingua une lumière provenant de la salle de bain et vit Sasha en sortir. En le voyant, Johnny ne put s'empêcher de laisser tomber son sac à terre.
-'Sasha... qu'est-ce qui s'est passé?' demanda-t-il en se précipitant vers son homme. Il avait la lèvre ouverte et une tache brune commençait à tourner au pourpre, formant une ombre sous son oeil.
Johnny sentait la colère l'envahir doucement, augmentant au fur et à mesure que le silence de Sasha devenait pesant. Il passa ses doigts sur le visage tuméfié de son amant, dessinant avec délicatesse ses contours. Il ne voulait pas lui faire plus de mal qu'il ne semblait déjà en souffrir.
-'Qui t'a fait ça?' demanda-t-il, la colère faisant chevroter sa voix. Sasha leva enfin les yeux vers lui et Johnny fut blessé de rencontrer le regard brisé de son homme.
-'A ton avis?' répondit Sasha, la lassitude et l'abattement prenant le pas sur tout le reste.

Il était épuisé, fatigué par toute cette pression médiatique et toute cette pseudo haine accumulée au cours des années. Il n'arrivait même pas à en vouloir à Evan. Sasha savait combien tant de pression pouvait faire basculer une personne, même la personne la plus censée. Il s'était servi de lui comme d'un punching-ball pour libérer cette colère et cette pression enfermées depuis trop longtemps au fond de son être.

Johnny voulut le serrer dans ses bras, le réconforter et le rassurer en même temps qu'il se rassurerait. Le sentir contre lui lui donnerait la preuve irréfutable que tout était réel et que tout irait bien. Ils se l'étaient promis. Le meilleur comme le pire. Et maintenant que le pire était passé, ils ne pouvaient se tourner que vers le meilleur. Il voulut le prendre dans ses bras mais Sasha ne lui en donna pas l'occasion. Il se dégagea de son étreinte, aussi fuyant qu'un chat appeuré. Il ne le regarda même pas, il avait trop vécu en un soir et les émotions tournoyaient dans son esprit à une vitesse assourdissante.
-'Je vais me coucher.' dit-il distraitement, la voix absente. Johnny l'observa, son coeur se brisant un peu plus à chaque pas que Sasha faisait, titubant, vers leur chambre.

La façon dont Sasha lui avait répondu ne laissait aucun doute planner sur l'identité de son assaillant. Il lui semblait même avoir apperçu une lueur de rancoeur au fond des yeux de Sasha mais Johnny ne savait pas si elle était destinée à Evan ou à lui-même. Il se sentait coupable et en même temps, il savait que ce n'était pas sa faute. Ses émotions étaient contradictoires. Il avait envie de parler à Evan mais la seule chose dont il avait envie sur le moment même, c'était de lui coller son poing dans la figure au moins aussi fort, si pas plus, qu'il ne l'avait fait avec Sasha.

Evan avait été intelligent. Il avait réussi à blesser Johnny comme personne ne l'avait jamais blessé, par le biais de Sasha. Il avait dépassé les bornes. Il se sentait à présent humilié et blessé comme jamais auparavant, il n'osait pas s'imaginer l'état dans lequel était son mari. Doucement, comme la chaleur monte dans un feu de cheminée, la colère se déversait à nouveau dans son être. Il se jura de tout faire pour ne pas laisser cette atroce insulte impunie.

Et ben, c'est pas joyeux tout ça. Ca va s'arranger au moins?

Mouuiii ma Lex, ça va s'arranger Je vais quand même pas laisser mes deux hommes tout malheureux.

Hein? Son mari?

C'est du Jersey de très haut niveau! Très belle plume, bravo

Merci Val.

Oui, Sasha est son mari maintenant, vu que dans mes drabbles de Mars ça se termine par une demande en mariage que Sasha a bien sur accepté (moi aussi, je veux bien t'épouser Johnny! )